Ovins Le manque de consommation pénalise les échanges
L’activité commerciale des animaux vivants ne reflète pas entièrement l’état des ventes dans le secteur aval avec une consommation atone fortement impactée, comme d’autres produits, par le prélèvement de l’impôt à la source.
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La demande restera peu soutenue avec le début des vacances d’hiver. L’agneau n’est pas un produit plébiscité sur les stations de ski, trop cher pour le budget des vacanciers.
Sur les marchés, la modestie de l’offre protège le commerce de la marchandise de qualité, entre autres, dans les bons agneaux de pays ou qui peuvent prétendre à un signe de qualité. Les transactions sont calmes, mais les prix se tiennent pour les bons laitons de Parthenay avec des agneaux laitons U valorisés entre 3,40 et 3,70 €/kg vif, voire 3,80 à 4,00 €/kg pour les E. La tendance est en revanche tendue dans la marchandise plus commune, peu recherchée face à une offre abondante en lacaunes.
Le commerce est régulier dans les agnelets avec une progression de l’offre sur Laissac et Réquista. Les 14-16 kg se vendent autour de 3,80 €.
En brebis, le commerce est assez calme mais les tarifs se maintiennent sur l’ensemble des marchés. Les brebis de plus de 60 kg de conformation U sont valorisées de 1,10 à 1,30 €/kg vif.
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